Les portraits de Thelma Paris - 7 questions à Eso Paris
Share
Grâce à leur vision moderne et contemporaine de l’ésotérisme, Lucillia, Irène et Hanane les créatrices de @esoparis apportent un nouveau regard sur un nombre important de pratiques comme: l’astrologie, la numérologie, la méditation sonore au bols de cristal..
@esoparis c’est une communauté qui rassemble les personnes sensibles ou curieuses au monde de l’Invisible.
Ensemble, nous avons co crée Intuition. Avec ses notes de bergamote et de géranium et son parfum végétal de mousse de chêne il aiguisera vos sens et créera une atmosphère claire et fraiche. Il vous permettra de vivre votre journée pleinement, de vous sentir présent.
Ici 7 questions * pour en apprendre plus sur les trois co fondatrices.
1. Qui se cache derrière Eso Paris ?
Irene Olczak, Hanane Mouhssine & Lucillia Chenel.
2. Quelle est la partie de votre activité que vous préférez ?
I : Les expériences et échanges avec nos praticiens. C’est un apport en connaissances infini, qui nous fait évoluer et que l'on peut transmettre ensuite. La Eso School c’est le Poudlard moderne, le rêve !
H : Les rencontres avec des astrologues, des voyants, des médiums, des chamanes… toujours très enrichissant et passionnant !
L : Toute la partie visuelle, la recherche d’images, de vieux livres, la mise en scène de nos événements, j’adore aussi rencontrer les intervenants ce sont toujours d’intéressantes rencontres.
3. Comment en êtes-vous arrivés à créer Eso Paris ?
L : Hanane et moi avions une sensibilité et passion commune pour l’invisible. On allait souvent dans des boutiques ésotériques, mais leurs univers et l’ésotérisme en France étaient mal représentés véhiculant beaucoup de clichés. Nous voulions apporter une nouvelle vision, plus contemporaine. Nous avons posté une story pour trouver de bons praticiens et Irène avait posté la même chose, le même jour en lançant un numéro de son magazine sur la spiritualité. Elle partageait notre passion et notre vision c’était une évidence, le projet ESO est né de ce trio !
I : Quand les filles m’ont contactées j’étais dans une période où je me questionnais sur le sens de notre existence. Je lisais et me documentais sur les pratiques et courants de spiritualité. Quand elles m’ont proposées qu’on s’associe j’ai eu un instant d’hésitation de peur de ne pas avoir le temps avec mes autres activités puis ça sonnait si juste qu’il m’était impossible de ne pas me lancer avec elles.
4. Avez-vous un rituel ?
I : Je purifie régulièrement mon espace avec du Palo Santo et de la sauge. J’écris très souvent des lettres de gratitude pour remercier la vie de ses cadeaux et aussi je pose mes intentions pour formuler précisément ce que j’aimerai manifester. C’est un exercice pas aussi simple qu’une liste de course, il faut être précis, ça nous force à vraiment réfléchir à ce qui est le plus important pour nous, et l’écrire c’est finalement le début de sa manifestation dans l’espace réel hors de nos pensées.
H : Pas spécialement de rituel j’aime agir au feeling.
L : Des voeux à chaque heure miroir, les intentions pour les nouvelles et pleines lunes.
5. Qu’est-ce que l’Intuition selon vous ?
I: Être profondément connectée à cette voix intérieure qui n’est pas la voix du mental ou de la raison mais vraiment celle de l’instinct animal présent en nous, qui est souvent étouffée par nos flots de pensées.
H: Une sensibilité
L: Un sens dont chaque être humain dispose et peut décider d’activer.
6. À quel moment utilisez-vous Intuition la co-création Eso x Thelma Paris ?
I : Avant de recevoir, ça fait planer une douce odeur qui apaise et fait les gens se sentir bien.
H : Dès que je rentre à la maison !
L : À tout moment !
7. Si vous ne deviez garder qu’un objet pour accompagner vos pratiques lequel serait-il ?
I : Mes oracles, pas un jour passe sans que je me tire une carte minimum.
L : Mon oracle (l’horoscope de belline)
H : Pas vraiment d’objet le contact et l’intuition suffisent !
* Le 7, comme dans de nombreux autres pays, est de bon augure au Japon. Les références à ce chiffre sont nombreuses dans la culture japonaise . Citons les 7 dieux de la chance (Shichifukujin), les 7 herbes (Nanakusa) que l’on mange le 7 janvier et qui sont supposées éloigner le mal, la fête de Tanabata du 7 juillet …